» Quoi qu’il arrive n’en faites pas une affaire personnelle », c’est donc notre deuxième accord toltèque.
Celui-ci nous oblige à analysé des situations concrètes pour ce rendre compte de son importance, et de toute façon c’est de cette manière que je fonctionne le mieux, c’est de prendre des choses spirituelles, de prendre des concepts abstraits et de les confronté à la vraie vie, à du concret.

Donc qu’est ce que cet accord nous dit, il nous dit que par exemple si tu rencontres quelqu’un qui te ment, il ne te ment pas parce que c’est TOI, mais parce que dans sa vision des choses, peut être pour se protéger, ou dans la vision qu’il a de toi il a besoin ou il se sent obliger de te mentir.

Pour moi cet accord, je me trompe peut être, mais fait référence à l’identification. Je suis un homme blanc je m’identifie donc à un homme blanc, si je croise un jour quelqu’un qui m’insulte en me traitant de « sale noir », je vais sourire, même explosé de rire, mais à aucun moment je me nidifie à une personne noire.
A contrario si j’étais noir et que je m’identifie à une personne noire je me sentirais atteint.
Pour transcender cela on peut s’identifier à l’humain, ou la couleur n’est qu’un détail rien d’important.

Pourquoi quand j’entendais quelqu’un me traiter de gros, j’en faisais une affaire personnelle ? Pourquoi à une époque quand on me faisait la remarque d’être un feignant j’en faisais une affaire personnelle ?

Et bien pour la simple raison que je m’identifiais à cette image de moi même, quelque part cela me fait mal, car je pensais ce exactement pareil qu’eux, et cette remarque j’en faisais une affaire personnelle.

Mais alors, comment cassé cette boucle ou ce cercle vicieux ? Et bien, on ne s’identifie plus. Pour me taquiner mes amis me disent que je suis un gourou, et je peux te dire qu’on a beaucoup rigolé avec ça, car à aucun moment j’ai cette image-là de moi, à aucun moment je peux en faire une affaire personnelle, car à aucun moment je m’identifie à cela.

Après cela, demande un vrai travail sur soi, comme dans tout, mais comme on dit il n’y a que la vérité qui blesse, mais au final c’est la vérité que l’autre vous dit et que vous validez qui entraine cette souffrance.
Si au lieu de me définir comme un gros, je me définissais avant tout et surtout comme un homme, un être vivant, cela n’auraient jamais eu le même, impacte sur moi.

Regarder les animaux, un chien qui va être obèse se sent-il gros par rapport à son congénère ? se sent-il inférieur ? Supérieur ? Aujourd’hui être obèse est mal vu, mais dans notre société occidentale, il y a des époques et même des pays aujourd’hui où les gens obèses sont signe de prospérité.

Au final ce que je souhaite apporté ici, c’est que laissez l’autre parler, il est le seul responsable de ce qu’il dit et toi tu es le seul responsable de validé ce qu’il dit sur toi ou non.
Si la personne t’insulte d’imbécile, et que tu réagis c’est que tu te sens imbécile, si tu ne te considères pas comme tel, pourquoi te sentirais tu visé ?

Encore une fois tout vient de la manière dont on se voit, de la manière dont on s’identifie.

Dans le monde, à travers les croyances, les peurs, les idées reçues de ton interlocuteur pour lui tu es peut-être un réel imbécile, mais dans ta réalité, dans ton histoire dans ce que tu as compris de toi, tu ne l’es pas.

Laisse l’autre porter le poids des mots qu’il utilise, ne cherche pas à les porter aussi, libère-toi de ces paroles.

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